Traduit de la liste de discussion du Coherence Psychology Institute, avec la permission de Robin Ticic:
Bonjour à tous,
Dans les dernières années, nous avons observé que de plus en plus de formes différentes de thérapies démontrent qu’elles contiennent les mêmes processus centraux qui leurs permettent de créer des changements profonds et durables (c’est-à-dire transformateurs) et ce, par le processus de reconsolidation de la mémoire qui annule les apprentissages émotionnels maintenant les symptômes.
Au CPI, nous avons commencé à désigner toutes les approches de ce genre, y compris la Thérapie de la cohérence, comme les « thérapies de reconsolidation », les distinguant ainsi des approches qui tendent à créer du changement correcteur, incrémentiel, ce qui laisse les apprentissages émotionnels sous-jacents intacts. (voir la liste grandissante des thérapies de reconsolidation qui sont confirmées sur notre site web : http://bit.ly/15Z00HQ).
Récemment, un membre de notre liste a partagé son intention de ne pas commencer par la Thérapie de la cohérence dans son travail, alors que sa description de celui-ci faisait allusion à du matériel pro-symptôme très riche. Cela m’a amenée à penser qu’il serait aidant de clarifier ce que nous faisons concrètement en thérapie si nous nous posons des questions telles que celles-ci :
– Si je choisis de ne pas utiliser la Thérapie de la cohérence, pourquoi cela semble-t-il nécessaire ?
– Est-ce que je sens qu’une Thérapie de reconsolidation de la mémoire différente serait plus adaptée pour ce client à ce point-ci ?
– Est-ce que je choisis de ne pas utiliser du tout de Thérapie de reconsolidation de la mémoire, c’est-à-dire, que je ne cherche pas à créer un changement transformateur ?
– Si c’est le cas, pourquoi, et quelle est ma cible avec ce client à ce point-ci ?
Aimeriez-vous contribuer à cette discussion?
Cordialement,
Sophie Côté
Institut de Formation en Reconsolidation Thérapeutique de la Mémoire 